Nous contribuons
activement à la
décarbonation de
l'économie réelle.
Faits saillants
À la fin de l’année 2024, nous avons dépassé les cibles que nous nous étions fixées lors du lancement de notre nouvelle stratégie climatique en 2021. Nos actifs sobres en carbone ont ainsi atteint 58 G$, en hausse de 40 G$ depuis 2017 et au-dessus de notre cible de 54 G$ à l’horizon 2025. L’intensité carbone de notre portefeuille a diminué de 69 % depuis 2017, surpassant notre cible de 60 % de réduction fixée à l’horizon 2030. Nous avions complété notre sortie de la production du pétrole et de l’extraction du charbon thermique à la fin de 2023.
La décarbonation de notre portefeuille s’est donc opérée à un rythme plus rapide que celle de l’économie réelle. Cela s’explique à la fois par la décarbonation de nos sociétés en portefeuille et par notre stratégie d’investissement dans des actifs sobres en carbone, des actifs faibles en carbone et des actifs favorisant la transition.
en actifs sobres
en carbone
Cible dépassée
de réduction de l’intensité
carbone de notre portefeuille depuis 2017
Cible dépassée
en actifs de
transition
en actifs ayant une faible empreinte carbone
Notre plan pour les énergies dans un monde en transition
Conformément à notre stratégie climatique, nous sommes sortis définitivement de la production du pétrole et de l’extraction du charbon thermique à la fin de 2023, ces deux secteurs ne correspondant plus à nos objectifs d’investissement à long terme.
Cependant, nous considérons le gaz naturel comme une énergie nécessaire à la transition, complémentaire aux énergies renouvelables. Nos investissements se concentrent sur les infrastructures de transport et de distribution de gaz, ces actifs représentant 1,6 % de notre portefeuille.
Nous privilégions également les investissements dans les actifs en énergie renouvelable dont la part est en croissance au sein de notre portefeuille global. À la fin de 2024, les actifs en énergie renouvelable représentaient 5 % de notre portefeuille.
Les actifs en énergie renouvelable occupent une place grandissante dans notre portefeuille, alors que la production de pétrole et de charbon n’en fait plus partie (en G$)





